Etes-vous prêt à retourner dans le monde de l’éducation des années 50 ? <br /> A écrire au porte plume bavant ? <br /> A avaler votre cuillère d’huile de foie de morue ?<br /> <br /> Tu as raison Dédée, Maître Capello c’est un peu trop exagéré mais en lisant tes aventures de collégiennes, je replonge dans l’univers « des CHORISTES » où de la fameuse émission du Pensionnat « de CHAVAGNE ». Attention tout de même le NCO ce n’est pas le pensionnat de rééducation. C’est une offense au corps enseignant de te substituer à eux et nous le savons tous que cette corporation est très susceptible surtout en ce moment où tous les programmes sont remis sur table par notre ministre. <br /> <br /> Je te rassure, je te comprends. Mais il y a aussi autre chose d’important qui a foutu le camp c’est la parole donnée, c’est le respect, c’est l’effort, c’est aussi la solidarité dans cette société individualiste… <br /> Alors pour en revenir au sujet de ce billet, nous ne sommes pas prêt dans notre pays à voir des pôles, des CREPS où des centres de formations évolués avec toutes les restrictions budgétaires annoncées. Nous sommes loin des STATES … N’est ce pas ?

Le terme de Maitre Capello est vraiment trop exagéré, car je suis loin d'être à son niveau !<br /> Mais à mon petit niveau, je dois dire que je n'aime pas du tout lire des textes bourrés de fautes :ça doit venir de mon éducation "Vieille France" car, au temps éloigné, où j'étais scolarisée (ouh, la, la, ça fait un bail...) il y avait des dictées et y faire cinq fautes nous donnait droit à un zéro : alors, on s'appliquait Il n'y avait pas, à l'époque, d'ordinateur avec correction orthographique, mais quand on sortait du lycée on savait écrire sans faire trop de fautes !

Pas évident de commenter sur ton blog, Maître Capello !! (humour ;) <br /> Et voilà on revient aux bonnes vieilles « bases et fondamentaux » comme il a raison. De mon coté je ne suis pas contre un centre de formation à condition qu’il soit lié à des valeurs, à une identité locale et qu’il participe à l’élaboration d’un plan de formation cohérant. Il a raison Rigaudeau lorsqu’il évoque une marque de fabrique à la Française. Nous pourrions avoir nous aussi une marque de fabrique à la Niçoise (c’est bien ce qui avait été mis en place au CAVI à une certaine époque, Non !!) et d’après ce que j’ai pu entendre et lire, ça marche !!! Bien sur à condition que toutes les forces s’accordent et fonctionnent dans le même sens et que l’on arrête le nombrilisme aigu.